Arbres et paysages du nord assure ses services d’abattage d’arbres et élagage sur LILLE (59000), DOUAI (59500), LENS (62300), LAMBERSART ( ), LOOS ( ), VILLENEUVE D’ASQ ( ), TOURCOING ( ), ROUBAIX ( ), HAUBOURDIN ( ), HELLEMMES ( ), CAMBRAI ( ), ARRAS ( ), LOMME ( )
Nous intervenons dans un rayon de 30 kms autour des principales villes de notre région :
VALENCIENNES – ARMENTIERES -CAMBRAI – DOUAI – ROUBAIX – ARRAS – BETHUNE – LENS – LIEVIN – HENIN BEAUMONT -SAINT OMER – DUNKERQUE – CALAIS – BOULOGNE SUR MER

ABATTAGE DES ARBRES ET ELAGAGE
ABATTAGE et ELAGAGE ARBRES . Arbres dangereux, élagage et taille de haies dans la région des Hauts de France
L’abattage d’un arbre consiste à le couper à sa base pour provoquer sa chute. Cette étape exige des mesures de sécurité strictes.
La coupe d’un arbre peut être gênée par des logements, des câbles électriques ou d’autres arbres.
Notre savoir-faire et nos compétences nous permettent de réaliser l’abattage manuel ou l’abattage mécanisé en fonction des espaces et du type d’arbres.
Abattages et démontages délicats
ABATTAGE et ELAGAGE ARBRES
Dans certains cas, on ne peut abattre l’arbre du pied.
L’abattage par démontage est obligatoire.
On commence par couper les branches au niveau du tronc en remontant et après on envoie la tête de l’arbre
On démonte morceaux par morceaux le tronc. Cette technique demande beaucoup d’expérience et de précision.
Pour certains arbres, on est obligé d’employer du matériel très spécifique comme un cylindre de friction et des poulies résistant à 6 tonnes.
Abattage manuel
L’abattage manuel se fait au moyen de divers outils : tronçonneuses, machettes, scies ou haches.
Avant l’abattage proprement dit, la base de l’arbre doit être débarrassée de la végétation et autres matières risquant de gêner la coupe ou de la rendre dangereuse. Éventuellement, le bucheron pratique l’égobelage, c’est-à-dire enlève les contreforts parfois observables à la base des troncs (surtout présents chez les essences tropicales).
Cette première réduction de la section du tronc permet ensuite un meilleur contrôle de la direction de chute.
Celle-ci une fois choisie, une entaille dite de direction doit être pratiquée avec précision de ce côté de l’arbre : un premier trait de scie – appelé plancher – est opéré horizontalement ; le second trait (appelé plafond) doit former avec le plancher un angle compris entre 30 et 45° et aboutir à une entaille comprise entre 1/3 et 1/5 du diamètre de l’arbre.
Dans le cas d’arbres de petite circonférence, l’entaille de direction est remplacée par un simple trait de scie.
La chute s’obtient par le trait de chute ou trait d’abattage à l’opposé de l’entaille de direction et un peu plus haut que le plancher de l’entaille, une charnière se formant ainsi dans les derniers instants et participant au contrôle de la chute en direction et du déplacement horizontal du tronc.
Le plus remarquable est dans le cas de spécimens de très gros diamètre, on peut conserver une patte de retenue à l’arrière du trait d’abattage. Celle-ci n’est coupée qu’une fois la charnière faite, afin de maîtrise